Sujet: FRANKLIN; Debra ___stand up when it's all crashing down. Sam 1 Aoû - 16:16
I • IDENTITE.
▬ Noms : FRANKLIN. ▬ Prénoms : Debra, Leigh. ▬ Date de naissance (âge) : Née le 24 août 1969, elle est alors âgée de 40 ans. ▬ Lieu de naissance : Debra est née à Chicago, USA. ▬ Nationalité : Bien des gens la croient Anglaise, mais c’est une Américaine de pure souche. ▬ Groupe : Famille Franklin.
II • HABITUDES. Répondez à ces questions par des phrases, étoffez en plusieurs lignes.
▬ La première chose que vous faites le matin : Je ne suis pas une adepte des grasses matinées, me levé tôt est une habitude depuis mon adolescence. La première chose que je fais le matin ? Je vais courir. Pour moi, maintenir une certaine forme semble assez important. Je ne dirais pas que ceci est pour garder une bonne ligne, mais plus pour me défouler. Alors, il m’arrive de courir pendant des heures et des heures sans m’arrêter. Mais à présent, mon cœur me rappelle très souvent que je vieillis, alors, le sport devient de plus en plus secondaire, plus les années passent. ▬ Le contenu de votre sac à main (F) : Mon sac à main est un danger. C’est le bordel, et j’ai beau le ranger, dans l’heure suivante, ça redevient la misère. J’ai un peu tout et n’importe quoi. Bien évidemment, je ne me sépare jamais de mon cellulaire, celui qui me maintient au reste du monde. Je dirais que je ne sors jamais sans mon téléphone, pour la simple et bonne raison que si je pars sans, c’est comme si j’oubliais de mettre un pantalon pour sortir en ville. Après, il y a un peu tout, mes papiers – bien que j’oublie régulièrement mon permis – des chewings gums, une petite trousse de maquillage bien que je ne la sorte qu'en cas d’extrême urgence, un baume pour les mains et mes clés – bien que ça m’arrive souvent de les oublier aussi. Bref, beaucoup de choses qui ne servent souvent à rien. ▬ Ce qui se cache sous votre lit : J’aurais pu dire de la poussière, mais je suis assez maniaque de ce côté-là. Manquant rudement de place, il m’arrive de mettre des cartons en dessous du lit, souvent recouvert par un drap ou quelque chose du genre pour éviter la poussière. Étant une grande fan des chaussures – chose qui peut exaspérée Lucas – au final, je ne sais jamais où les mettre, alors le dessous du lit me semble une bonne place, bien que je sois persuadée que des tas de choses s’y cachent. Mais j’ai une sainte horreur de nettoyer le dessous du lit. Ainsi soit-il. ▬ Ce qui vous séduit chez l'autre : De nature amusante, j’aime quand on me fait rire aux éclats. C’est une chose qui peut très vite me séduire chez une personne, et c’est d’ailleurs ainsi que Lucas finit par me séduire. Malgré mes rides, je suis persuadée que la plupart sont en rapport aux éclats de rire que j’ai pu avoir avec les gens qui m’entourent. Alors, il faut que l’autre sois un petit plaisantin pour me plaire, pour faire revenir mon âme d’enfant, cette âme qui reste cachée en moi, malgré les années. La vie serait bien trop triste sans le rire. ▬ Ce qui vous rend hystérique : Je hais le mensonge. C’est vraiment une chose pour laquelle je peux devenir une vraie hystérique. Les rares personnes qui ont osées me mentir s’en souviennent encore. Je sais toujours quand quelqu’un me ment, peut-être un nouveau sens, je n’en sais rien. Il faut s’attendre à une vraie crise de furie si une personne ose me mentir en face. Peut-être que cela se rattache à mon enfance, ou à un trait de caractère d’une personne de la famille, mais en tout les cas, le mensonge est une chose impardonnable à mes yeux.
III • RELATIONS. Un minimum de quinze lignes est demandé pour l'ensemble de ces trois questions.
▬ Avec vos enfants : Rembrand. Mon seul enfant, né d’un amour profond qu’avec Lucas Duprès. Seulement, très tôt, je remarquai le délaissement total de mon amour pour mon enfant. Alors, c’est peut-être ainsi que je me montrai trop protectrice envers celui-ci, en devenant peut-être un peu trop étouffante, peut-être même trop présente. L’empêchant de faire ses propres erreurs, pour lui permettre de grandir. Je lui offris tout ce qui était en ma possession. Un amour fusionnel, des tas de cadeaux, bref une véritable maman poule. Peut-être avais-je rejeté tout cette amour pour mon fils, alors que moi-même, je n’avais pas été très proche de ma mère. Je n’en savais rien, mais, il était évident que le moment où nos chemins allaient se séparés pour qu’il fasse sa vie, mon cœur allait se brisé en milles morceaux. J’avais toujours eu peur de le voir grandir, peur que sans lui, mon amour pour Lucas allait s’évaporer avec le temps. Mais il n’en fut rien. Seulement, rien que m’imaginer le départ de son seul enfant, me rappelait combien le temps passait, et combien je devenais vieille et ridé. Je ne suis pas du genre à m’apitoyer sur mon sort, bien qu’étant pessimiste de nature, mais plus le temps passait, et plus mes inquiétudes se réalisaient. Lucas m’avait dit très souvent que j’avais été trop présente pour Rembrand, mais en même temps, il fallait comprendre, il était mon seul enfant, et je n’étais plus en âge de pouvoir tomber enceinte, sauf par l’opération du Saint-Esprit. Et pourtant, je ne me doutais en rien que malgré les bonnes manières que j’avais inculqué à Rembrand, il bouillonnait, il bouillonnait tellement fort que cela pourrait mettre un terme à cette amour que je croyais fusionnelle. ▬ Avec vos frères et soeurs : Je suis particulièrement proche de mes sœurs. À vrai dire, je ne vais pas cacher que lorsque l’ont étaient enfants, on pouvait se faire des mauvais coups, mais en même temps, qui ne la jamais fait. Mais ce sont mes sœurs, sœurs pour lesquels je ferrais n’importe quoi, jusqu’à en donner ma propre vie. Nous avons toujours été habitués à vivre ensemble, encore maintenant, on ne peut s’empêcher de s’appeler régulièrement, de se faire des soirées, et de s’échanger des conseils pour l’éducation de nos enfants. Mes sœurs m’ont de nombreuses fois dit que j’étais trop présente pour Rembrand, mais en même temps, la plus grande avait deux enfants à aimer, moi je n’en avais qu’un et la plus jeune n’en avait pas encore – et ne semblait pas prête à en avoir, vu son compagnon. À vrai dire, nous avons un peu tout partagés, un peu tout traversés ensembles. Bien qu’on adorait se tirer les cheveux, et se piquer les vêtements, nous étions toujours là quand l’une n’était pas bien, toujours là pour la première rupture amoureuse, bref pour les grosses déceptions, ou encore pour les moments de joies. Encore aujourd’hui, on ne se cache rien, quand nous avons des choses à dire, nous nous les disons sans aucuns regrets, jusqu’à peut-être en être blessante. Comme cette histoire entre Alexis et ce Jonathan. Je ne sais pas pourquoi, mais il ne m’inspire en rien la confiance, bien que je le respecte du mieux que je peux, ayant été une demoiselle bien élevée. Alexis connait ma presque répulsion pour son fiancé, mais jamais il ne fut un sujet de disputes. Et je pense que c’était le mieux, nous pouvions parlé sans en venir aux insultes, et c’était une chose bien rare dans une famille, surtout dans la notre, où le mensonge semble être particulièrement présent, ainsi que la trahison. Quant à ma relation avec Nolan, je nourris également un profond respect pour l’ainée. Elle a toujours été là pour moi, elle allait voir les garçons qui m’avaient fait souffrir, et j’étais peut-être plus proche de Nolan que d’Alexis, mais de bien peu malgré tout. ▬ Avec votre famille plus éloignée : Les Franklin sont une famille particulièrement proche - malgré une individualité parfois très prononcée. Chaque année, nous avions l’habitude d’organiser un repas de famille, avant que nos grands parents ne décèdent, ainsi que notre mère. Mais nous étions peut-être proche, des tas de secrets dont je n’ai pas forcément toutes la connaissance se trouvent dans notre famille, comme cette relation extra conjugale de notre mère. Chacune des personnes présentent dans la famille, finissait par nourrir un profond respect les uns pour les autres, d’où la difficile pour nous d’intégrer de nouvelles personnes. Peut-être était-ce une des raisons de mon éloignement avec le peut-être fiancé de ma petite sœur Alexis. Mais plus les années avaient passées, et moins je passais de temps avec ma famille éloignée. Je gardais des contacts réguliers avec mes sœurs, ainsi que leurs enfants, mais moins avec mes grands-parents, et mes propres parents. Pendant un petit temps, on me le reprocha, mais j’avoue avoir privilégié l’éducation de mon fils, ainsi que mon amour pour Lucas. Mais il ne faut pas être idiot, bien des conflits sont nait dans notre famille, encore plus depuis l’annonce de l’héritage. Notre famille fait partie de celles qui peuvent s’aimer profondément, tout en se déchirant pour un rien. Peut-être nos caractères respectifs qui faisaient naitre ses énormes clashs entre les différents membres des Franklin. Mais il n’empêchait pourtant pas que dès qu’un membre avait un souci, toutes la famille se pliait en quatre pour l’aider, et je pense que ce trait fait de notre famille quelque chose d’honorable, malgré les choses qui ont pu se passaient.
V • SITUATION. Un minimum de dix lignes est exigé pour l'ensemble de ces questions.
▬ Comment avez-vous réagit à l'annonce de la décision du notaire face à l'héritage ? Ma réaction fut particulièrement mauvaise. J’ai été surprise, comme bons nombres de personnes, mais j’ai été encore plus touchée par le mensonge de notre mère. Ce mensonge qui faisait changé mon regard sur notre passé. Un nid de mensonge, et les Franklin savaient combien le mensonge était une chose que je ne supportais pas. Pendant très longtemps, j’ai refusé de suivre la famille dans ce manoir. Notre mère avait fait passé notre famille pour les méchants de l’histoire, et devoir me battre pour un héritage qui n’était pas forcément le notre, ne me donnait en rien envie. Et pourtant, je finis par céder, pourquoi ? Car c’était ma famille, et que pendant longtemps, je mettais montrer particulièrement éloignée d’eux, alors, il ne fallait pas que je les abandonne dans un cas comme celui-ci. Mais mon envie était toujours autant partagée, et je n’éprouvais en rien une haine contre les Woody. Après tout, c’était nous les intrus dans ce Manoir, et non eux. Mais je ne pouvais en rien enlevée cette colère profonde que j’éprouvais, et qui parfois, se rependait sur le reste des membres de la famille, qui, contre toutes attentes, continuait à protéger l’honneur de notre mère. En attendant, elle avait trompé, et menti, prête à briser deux familles. Un choix ridicule, stupide, et impardonnable, à mes yeux. ▬ Comment vivez-vous la situation au Manoir ? Que ressentez-vous face à l'autre famille ? Je suis partagée, ayant refusé de me joindre à ce complot, qui semblait en être un. Mais j’avais cédée, car il le fallait. Je dois avouer que toute cette guerre a un mauvais ascendant sur mon caractère si vif. De nature calme, je n’éprouve qu’une totale révulsion pour tout les membres présents, jusqu’à en regretter mon choix. De tous, j’étais sûrement celle qui se battait le moins, qui faisait le moins de méchancetés. Je ne suis pas un Ange, mais pourquoi me « battre » avec quelqu’un d’autre, sachant que nous n’avons rien à faire ici, puisque, à mes yeux, cette demeure revient de droit aux Woody. Mais très vite, les coups bas commencèrent, et ayant un profond respect pour l’autre famille, il pourrait que cela change rapidement. Je refuse qu’on s’attaque à ma famille, bien que nous fussions les intrus. Quant à l’autre famille, je semble partagée. Je n’ai jamais cherché à les connaitre, ou à tenir une discussion avec l’un d’eux, et l’inverse ne se fit pas non plus. Je semblais neutre, j’étais un peu la Suisse. Mais rapidement, l’autre famille se montra beaucoup moins ouverte que je le crus, et finit par naitre des stratégies assez enfantines. Et malgré une colère naissante quant à tout ceci, j’avais l’impression de retourner au lycée, ou à la maternelle. Au choix.
VI • JOUEUR.
▬ Pseudo : CHERRYTREE. ▬ Âge : Très très bientôt, Dix-huit ans. ▬ Avatar : CAMI ou plutôt CAMERON DIAZ. ▬ Commentaires : J'ai vraiment hésité avant de venir. ▬ Code :
Spoiler:
OK
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Sujet: Re: FRANKLIN; Debra ___stand up when it's all crashing down. Sam 1 Aoû - 16:16
IV • ANECDOTES. Vous avez le choix pour le nombre d'anecdotes, mais nous vous demandons un minimum de trente lignes.
Assise à une table, proche de Nolan, sa sœur. Debra tenait une tasse de café entre ses mains. Il semblait être tôt dans la matinée, puisque le soleil semblait seulement se levée. Encore une nuit où Debra n’avait pas bien dormis, et où elle s’était réfugiée chez sa sœur qui ne vivait non loin de la demeure Franklin-Duprès. Cela était devenu une habitude chez les deux femmes. Debra venait prendre le café chez sa sœur. Et pourtant, ce jour-ci, le silence régnait dans la spacieuse maison des Franklin-Banks. La maison ne semblait être animée que par les respirations des deux femmes qui fixaient toutes les deux leurs tasses. La semaine précédente, elles avaient apprit que leur mère était morte, et pourtant, Debra n’avait versé aucunes larmes. Elle aimait profondément sa mère, c’était une certitude, mais dès le moment où elle avait apprit le testament, l’image qu’elle avait de sa mère avait totalement changée, et peut-être pas en bien. Debra brisa le silence. « Je crois que Rembrand à rencontrer quelqu’un. »
Sa sœur se tourna alors vers elle, avec un franc sourire. « C’est vrai ? » Mais Nolan savait que cela ne faisait pas forcément plaisir à la jeune mère. Debra était une femme très protectrice envers son seul enfant, et ça, depuis sa naissance. Ses sœurs, surtout Nolan, avait toujours laissé sous entendre qu’il fallait peut-être qu’elle apprenne à le laisser partir, car il était dommage qu’il se décide à partir de lui-même à cause de la surprotection de sa mère. Mais de ce côté-là, Debra était aussi fermée qu’une huitre. Elle était bien trop attachée à son seul enfant. En même temps, comment lui en vouloir, elle était à présent trop vieille pour tomber enceinte, et si c’était le cas, cela pourrait presque en être dangereux pour sa vie, voilà la raison de pourquoi Debra surprotégé autant Rembrand, sans même se rendre compte que cela finissait par en devenir maladif. « Je ne pense pas que ça sois une bonne chose qu’il rencontre quelqu’un tout de suite. » Nolan ne put tenir un petit rire. Elle s’était tellement attendue à cette réponse de la part de sa jeune sœur. « Tu sais, avec la mort de maman. » Nolan ne put alors pas s’empêcher d’intervenir. « Ne mêles pas Maman à cela. Il faut juste que tu comprennes que ce n’est plus un petit garçon à présent, qu’il doit voler de ses propres ailes. »
Cette vérité blessa la jeune femme pas encore mariée. Et pourtant, elle savait que sa sœur avait raison, mais il lui semblait difficile de le laisser aller. C’était son petit garçon, mais pourtant, Nolan savait ce dont elle parlait, ayant elle-même un garçon, Reid. Puis, elle était plus âgée, alors, dans l’optique de Debra, elle savait forcément de quoi elle parlait. « À mes yeux, il restera toujours le petit garçon qui devenait hystérique quand je l’emmenais dans une boutique de jouet. » Debra releva le regard vers sa sœur. « Je sais, je sais. Mais, je pense qu’il vaut mieux que tu le laisses partir avant que ça ne créé un forcé entre vous. Ca pourrait faire plus de mal que de bien. » Et pourtant, Nolan savait que malgré son discours, Debra ne l’écouterait pas, elle continuerait à surprotégé Rembrand. Ce n’était pas la première fois qu’elle tenait ce discours, et encore moins la première fois que Debra lui ressortait la même chose. Qu’elle allait le laisser faire ses choix. Mais cela en revenait toujours à la même chose, elle le dorlotait encore comme si il était tout ce petit garçon de 5 ans qui courrait partout. « Et puis, il faut voir son futur départ comme une bonne chose. Il deviendra un homme, et tu pourras passer plus de temps avec Lucas, et peut-être que vous allez enfin vous marier. »
Cela faisait des années et des années qu’elle était fiancée à Lucas Duprès, ce français dont elle était profondément amoureuse, le père de Rembrand. Ils s’étaient fiancés quelques années après la naissance du garçon, et depuis, plus jamais ils ne parlèrent de mariage. Debra avait toujours été trop occupée à s’occuper de leur enfant, tout en travaillant dans l’immobilier, et Lucas était aussi particulièrement occupé. Rare était les moments où ils se retrouvaient qu’à deux, et jamais le mariage ne refit surface, malgré la bague qui trônait au doigt de Debra. Nolan n’avait pas tort, il fallait également qu’elle se concentre sur sa vie amoureuse si elle ne voulait pas voir son amour de toujours lui filé. « Tu as raison, et cela pourrait finir par me donner une nouvelle jeunesse. » Mais cela était plus censé la convaincre, elle n’était en rien sûr. Peut-être même que Lucas ne souhaitait plus se marier. « Et peut-être que tu pourrais essayée d’avoir un nouvel enfant. » Debra ne put retenir un éclat de rire. « Un enfant ? J’ai 40 ans Nolan. Quand il sera majeur, j’aurais des cheveux gris, et mon visage sera plein de rides. » Nolan lui donna un coup sur la tête avec le magasine qui se trouvait sur la table, mais au fond, elle savait que sa petite sœur n’avait pas tort. Mais en même temps, elle semblait tellement redouter le départ de Rembrand, qu’une nouvelle grossesse ne pourrait lui faire qu’un sacré bien.
Dernière édition par Debra Franklin* le Sam 1 Aoû - 16:31, édité 1 fois
Alwena Hawkins ECCENTRIC SOUL ▬ Because the world needs a little of madness.