| | | AINSLEY, R. -checked: 100% |  |
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Reid Ainsley
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| | Sujet: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 22:55 | |
| I • IDENTITE.
▬ Noms : Ainsley
▬ Prénoms : Reid, William
▬ Date de naissance (âge) : 16 mars 1989 (20 ans)
▬ Lieu de naissance : Chicago, Etats-Unis.
▬ Nationalité : Américaine
▬ Groupe : Famille Franklin
II • HABITUDES.
▬ La première chose que vous faites le matin :
J’ouvre les yeux et tourne ma tête lentement vers le réveil ; sur le cadran, l’heure affichée en grosses lettres rouges qui clignotent : 5.55am. Je m’étire et me redresse lentement dans mon lit. Je n’ai pas besoin de beaucoup de sommeil, cinq à six heures par nuit au maximum. Je m’éveille souvent lorsqu’il fait encore nuit à l’extérieur, c’est un avantage car j’évite ainsi les petits déjeuners en famille mais un inconvénient car il est difficile de se lever et de s’activer quand l’obscurité vous entoure. Mais je suis toujours débout avant les autres ; j’en profite pour déjeuner, lire un peu et profiter de ma tranquillité avant que tout le manoir s’anime –d’autant qu’avec les hurluberlus qui cohabitent avec nous, il y en a largement assez de l’animation. Les lumières des projecteurs s’intensifient, imitant celle qu’il y aurait s’il faisait jour et, après un tour rapide dans les loges, je reviens dans ma chambre vêtu d’un peignoir, légèrement mouillé comme si je sortais d’une douche ; la porte par laquelle j’entre dans le champ de la caméra est d’ailleurs celle qui est censée donner sur la salle de bains. Je déambule quelques secondes, sans but et puis je me mets dos à la caméra. J’ai signé une close qui autorise le réalisateur à prendre des plans de moi nu et la caméra glisse quelques secondes sur le bas de mon dos pendant que je me change. Je suis le script à la lettre : après m’être étiré, j’ai disparu dans une pseudo-salle de bains puis je suis revenu dans la chambre et j’ai enfilé un boxer et un tee-shirt. Je suis maintenant supposé descendre dans la cuisine pour y prendre un petit déjeuner. J’ai réussi à imposer au scénariste que je prenne un livre –Guerre et Paix de Tolstoï, avec moi pour le lire pendant que je déjeune.
▬ Le contenu de votre portefeuille :
La scène que nous tournons aujourd’hui se déroule dans un bar, en plein milieu de l’après-midi. Assis en face de moi se trouve Rembrand Duprès, mon cousin et meilleur ami, une tasse de café fumante devant lui. Je regarde par la fenêtre par laquelle le paysage pluvieux de Birmingham s’étale. Il pleut depuis plusieurs jours, ce qui arrange bien l’équipe du tournage qui n’a pas eu besoin de préparer de la fausse pluie –c’est toujours ça de gagné. Rembrand repousse le scénario dont s’empare un assistant de plateau et lorsque le metteur en scène crie « Action ! », nous sommes tous les deux prêts.
REMBRAND (en se levant) – « Je te laisse alors. A demain, si ça te va toujours. »
Il quitte le bar en laissant sa tasse de café encore chaud sur la table. Je reste assis quelques secondes, l’air songeur, puis lorsque le metteur en scène me fait un petit signe de la main, je cherche mon portefeuille dans mes poches afin de payer. Je ne le trouve nulle par, ni dans les poches de mon jeans ni dans celles de mon blouson de cuir et je cherche de plus en plus frénétiquement, sentant monter la panique en moi : ma vie entière est dans ce portefeuille. J’y ai mes cartes de crédit, mon passeport, ma carte verte, du liquide également pour les petites courses que je dois faire à l’improviste ; des timbres aussi, car on n’en a jamais assez et que je suis prévoyant (c’est marqué dans le script à un endroit). Sous le coup de l’énervement je renverse aussi le contenu des poches de ma veste sur la table ; tombent pêle-mêle un I-pod, mes clés, mon téléphone portable, des pilules pour les migraines et un vieux plan tout froissé de Birmingham.
▬ Ce qui se cache sous votre lit :
Assis sur la terrasse du manoir, je prends un bain de soleil en tournant les pages du script final ; je suis quelqu’un de bien secret à en croire ce qui y est écrit, mais pas au point de cacher des choses sous mon lit. Du moins, c’est ce que je crois jusqu’à ce que j’arrive à une scène située au milieu du scénario, dans laquelle je sors de sous mon lit une petite boite en carton. La caméra zoome sur mon visage avant de suivre le chemin de mes bras jusqu’à la petite boite poussiéreuse. Précautionneusement, je soulève le carton et le laisse tomber sur le sol, à côté de moi avant de plonger une main dans la boite. La caméra ménage le suspense et reste bloquée sur mon visage, qui prend une expression douloureuse ou peinée (le metteur en scène choisira sur le moment). En fond sonore, une musique triste sera ajoutée, quelque chose avec des violons et/ou du piano, le tout très larmoyant. Pour rajouter un effet encore plus mélodramatique ce qui se trouve sur les photos ne sera pas dévoilé par la caméra. On se contentera d’un plan de mon visage avec l’expression de peine tatouée sur chaque parcelle de ma figure. Quand le réalisateur criera « Coupez ! » je rangerai dans la boite les clichés de cette jeune fille que j’ai aimée il y a longtemps et refermerai le couvercle. Mais pour l’heure, étendu sur ma chaise longue, je soupire devant un tel cliché et laisse tomber le script sur le sol.
▬ Ce qui vous séduit chez l'autre :
REID (tourne en rond, le script à la main. Essaie de ne pas trop y jeter de coups d’œil, visiblement en difficulté pour retenir son texte) – « Tu sais, il y a des mois… non, merde, des semaines ! Il y a des SEMAINES ! Donc… Tu sais, il y a des semaines que je ne suis pas sorti avec quelqu’un… J’aurais besoin… de quoi déjà ? de temps ? Non, que tu sois patiente ! J’aurais besoin que tu sois patiente et que tu me laisses le temps. Voilà. On recommence. »
Depuis mon arrivée à Birmingham, je n’ai pas fait de rencontre intéressante. Aucune fille n’attiré mon attention, capté mon regard. Déjà à Chicago, elles me semblaient transparentes… En fait, depuis que j’avais rencontré Earling, cette fille sur les photographies dont il était question page 47 du script, j’avais perdu goût aux aventures féminines ; elles me semblaient toutes ternes en comparaison avec elle, la belle Earling. Même les filles qui correspondaient à mon idéal féminin, blondes, élancées, souriantes… Elles avaient beau être aussi intelligente que possible, avoir les mêmes centres d’intérêt que moi, je ne les voyais plus… Deux semaines et ma vie avait été chamboulée.
▬ Ce qui vous rend hystérique :
Je verse un cachet d’aspirine dans un verre d’eau et lorsque le cachet est entièrement dissout, je bois le verre d’une seule traite puis me masse la gorge pendant quelques secondes. Je tousse, avec difficulté pendant qu’une douleur s’empare de ma gorge. Je tourne beaucoup de scènes dans lesquelles je dois hausser le ton : je m’emporte facilement car je suis tout le temps sur les nerfs. Je crie pour un rien, je lève les yeux au ciel à une fréquence très élevée et je soupire tout le temps. Parmi les choses qui m’irritent le plus souvent, c’est le bruit que peuvent faire les gens qui m’entourent. Il est arrivé plusieurs fois que je m’emporte contre d’autres personnages qui faisaient un peu trop de bruit à mon goût.
III • RELATIONS.
▬ Avec vos parents / avec vos enfants :
Nolan arrive sur le plateau avec quelques minutes de retard ; elle s’excuse : elle a été prise dans les embouteillages. Je suis quant à moi entièrement prêt pour jouer notre scène et je n’attends plus qu’elle. Je vais vite me placer là où je dois commencer, c’est-à-dire en haut d’un immense escalator dans l’aéroport d’Heathrow, en Angleterre. J’ai une de mes valises à la main et un sac à dos rempli de babioles inutiles qui m’écrase le dos pendant que je laisse l’escalier automatique m’apporter en bas, dans la grande salle de l’aéroport. J’entends une voix crier « Reeeeeeeeeeeeid ! » dans le terminus et en tournant la tête j’aperçois ma mère qui court vers moi. Plan large de la caméra montrant la distance qui nous sépare puis plan serré qui nous montre nous étreindre. Je prends un air contrit, quoiqu’amusé, faisant ainsi comprendre au téléspectateur que, bien que ce genre d’effusion m’est d’ordinaire insupportable, je les tolère lorsqu’elles viennent de ma mère. Nous restons quelques secondes dans les bras l’un de l’autre avant que Nolan ne se détache en disant :
NOLAN (visiblement très heureuse de me revoir) – « Oh Reid, je suis bien contente que tu aies accepté de venir, et surtout que tu sois arrivé ! »
Nouvelle embrassade ; et sourire de ma part. Nolan et moi sommes très attachés l’un à l’autre ; elle a avec moi une relation particulière, due au fait que je suis l’ainé de ses enfants et qu’elle m’ait eu jeune. Nous quittons l’aéroport pendant que « Hallelujah » de Jeff Buckley résonne en fond sonore.
▬ Avec vos frères et soeurs :
Je suis assis sur le grand canapé du salon, un verre de liquide coloré que la production fait passer pour du whisky pur malt à la main ; je suis absorbé dans des réflexions qui semble capter toute mon attention et me rendre indifférent au monde autour. Je pense à ma sœur et la scène du salon bien décoré et confortable du manoir anglais disparait pour se transformer en une vaste pelouse dans les environs de Chicago. Je suis plus petit –j’ai 7 ans, 8 tout au plus, et je cours après une petite fille. L’actrice qui joue ma sœur à 5 ans est un peu ronde, mais pleine de vie ; c’est le contraire du petit garçon qu’ils ont engagé pour me jouer moi. Je lui cours après en hurlant des insultes et en lui intimant d’arrêter de courir et de me rendre le dessin qu’elle m’a volé un peu plus tôt. Elle me rétorque aussitôt que je n’avais qu’à pas avoir coupé les cheveux de sa poupée Barbie. Je laisse échapper un juron et me jette littéralement sur elle ; nous tombons au sol et roulons quelques mètres pendant lesquels nous nous battons pour le dessin que Robyn finit par déchirer en se moquant de moi. Je me relève en pleurant et cours jusqu’à ma mère, assise quelques mètres plus loin qui ne veut rien entendre et m’ordonne de ma calmer sans quoi je serais privé de dessert. Fin du flash-back et retour dans le salon avec une musique douce pour apaiser le contraste. Je me lève quand Robyn entre dans la pièce et me précipite vers elle à grands pas nerveux. Je suis agité visiblement et les premiers mots qui sortent de ma bouche ne veulent rien dire. J’y parle de la protéger, de faire attention, que je suis son frère et que c’est normal.
ROBYN (agacée, elle recule en direction de la porte) – « Ca suffit, Reid ! Tu n’as PAS à me dicter ma conduite que je sache ! Je suis majeure et j’entends mener ma vie comme bon me semble ! Alors laisse-moi tranquille ! »
(Si nous étions dans la vraie vie, Robyn aurait bien sûr été plus vulgaire.)
▬ Avec votre famille plus éloignée :
Mon père n’est jamais apparu dans le script ; on le mentionne parfois, mais je suis trop proche de ma mère pour avoir gardé des liens forts ave c lui ; en revanche, j’ai plusieurs scènes à tourner avec mon cousin, Rembrand. Nous sommes les meilleurs amis du monde et passons énormément de temps ensemble. Pourtant nous avons quelques différences de caractère et d’éducation mais cela ne nous empêche pas d’être incroyablement liés. Bien qu’il nous arrive de nous disputer, le script insiste sur le caractère sans conséquences de ces disputes qui ne font que nous rapprocher ensuite ; nous passons plusieurs moments dans un bar, à discuter et à nous confier nos petits problèmes autour d’un bon verre.
V • SITUATION.
▬ Comment avez-vous réagit à l'annonce de la décision du notaire face à l'héritage ?
Ma mère nous regarde, Robyn et moi, avec insistance, comme si elle attendait que nous prenions la décision à sa place. Une caméra est fixée sur son visage, une autre va et vient entre les visages de ma sœur et de moi-même ; nous prenons des expressions perplexes et interrogatives. Robyn pose une question à ma mère, quelque chose du style « On n’a pas le choix ? » et ma mère répond un autre truc que je n’entends pas, genre « Si, mais ça serait renoncer à l’héritage… », ce qui bien sûr clôt le débat, le temps de la coupure pub. Musique dramatique, plan serré sur les trois visages puis fondu au noir. Lorsque l’on revient, j’ai eu le temps d’y penser plus en profondeur et j’en discute à présent avec Robyn, tous les deux assis dans l’appartement matriarcal de Chicago. Je lui dis que je n’ai vraiment pas envie de partir ; j’ai commencé ma licence à Brown et je ne suis pas sûr qu’aller la terminer en Angleterre serait une bonne idée. Bien sûr, je serais plus proche de mon champ d’étude (la littérature anglaise), mais je serais forcé de quitter tous mes amis ; mais en fait il s’agirait plutôt d’un soulagement car nous nous sommes considérablement éloignés ces temps-ci. Ils ont tendance à m’exaspérer. Robyn me demande, l’air de tout savoir, un peu comme un vieux sage, si après tout ça ne serait pas une bonne idée de pouvoir tout recommencer de zéro. Je souris et jette mon regard au loin, pensif. A nouveau, plan serré sur mon visage, puis fondu au noir.
▬ Comment vivez-vous la situation au Manoir ? Que ressentez-vous face à l'autre famille ?
En ce qui concerne l’autre famille en général, je ne tourne que très peu de scènes avec eux ; la grande majorité des scènes est concentrée sur ma relation avec ma propre famille, principalement Rembrand, Nolan et Robyn ; lorsqu’il m’arrive de devoir parler des Woody, je me contente généralement de phrases brèves montrant que ces gens n’existent pas vraiment pour moi, en comparaison de la rivalité qui s’est installée entre les membres de ma famille et eux. J’ai dû tourner quelques scènes en leur compagnie et nous avons eu des échanges cordiaux, voire même sympathiques. Mais la raison pour laquelle je ne rentre pas vraiment dans le jeu des rivalités c’est parce que j’en pince un peu pour la jolie Erling ; évidemment c’est encore un secret mais cela, lorsque ça sera dévoilé à l’écran, expliquera les raisons pour lesquelles je semble œuvrer auprès des membres de ma famille pour une réconciliation avec les Woody. Cependant je sais aussi qu’une réconciliation entre nos deux familles mènerait à la perte du manoir pour nous. Le script ne cesse de mentionner le cruel dilemme dans lequel je me trouve et le mal-être qui en résulte.
Dernière édition par Reid Ainsley le Sam 22 Aoû - 0:04, édité 10 fois | |
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 22:57 | |
| IV • ANECDOTES.
J’entre, flanqué de ma mère, dans le grand hall d’entrée du manoir des Quatre Saisons. J’y fais quelques pas avant de m’arrêter, impressionné par la taille de la pièce. Je n’ai jamais vécu dans la pauvreté mais une telle démesure me semble particulièrement hors de portée, y compris après notre arrivée (non filmée pour gagner du temps) par la grande allée centrale qui donne un aperçu sur tout le manoir et son terrain. Ma mère semble comprendre mon émoi et pose sa main sur mon épaule ce que ne rate pas la caméra, qui filme ce geste de très près, presque de la même manière que celle avec laquelle le cinéma indépendant procède. Nous faisons quelques pas et ma mère s’arrête.
NOLAN (m’empoigne le bras, comme si elle ne me laissait pas le choix) – « Tu veux voir ta chambre ? »
J’acquiesce et nous passons par toutes sortes de couloirs –ce passage sera sûrement coupé au montage mais on le filme quand même pour en faire des bonus par exemple. En mon for intérieur je songe que je vais vraisemblablement me perdre dans cette immense demeure dont les dédales me troublent d’ores et déjà. Ma mère semble déjà bien aguerrie, elle n’est pourtant pas là depuis très longtemps, mais je la suis aveuglément. Nous arrivons dans ce qu’elle me présente comme l’aile nord, dans laquelle les Franklin sont pour ainsi dire parqués à l’abri des Woody et de leurs manigances. Elle me recommande de me méfier d’eux et de leurs coups bas car ces vautours veulent vraiment le manoir. Tout ça est dit sur une musique accentuant la tension qui émane de Nolan et la caméra l’accompagne hors de ma chambre, m’y laissant seul. Je la regarde partir pendant qu’une caméra filme mon visage songeur en plan serré.
Je me retourne et ferme la porte ; je suis à présent seul dans ma chambre, si l’on excepte l’équipe technique qui est restée avec moi. Je parcours du regard la pièce, la caméra toujours braquée sur moi pendant que je découvre l’endroit où je vais vivre pour les… prochaines années peut-être, qui sait ? Il s’agit d’une chambre de taille moyenne, une de ces pièces que l’on ne peut imaginer plus petite car ce serait pénible mais que l’on ne peut pas non plus imaginer plus grande sans quoi il ne s’agirait plus d’une chambre mais d’un salon. Elle me semble familière bien qu’elle ne le soit pas du tout ; c’est un peu comme si cette chambre avait été décorée par mes soins, ou bien pour moi. J’y retrouve des choses qui me plaisent, une petite bibliothèque par exemple, ou encore une fenêtre assez large qui a une vue sur le parc.
Quelques minutes plus tard, je parcours le manoir (ou le château, peu importe le nom qu’on lui donne vu sa taille) à la recherche de repères que je pourrais identifier pour retrouver mon chemin lorsque je m’aperçois que je suis arrivé dans l’aile sud du manoir, celle des Woody. Je me remémore alors ce que m’a dit ma mère à leur sujet, les manigances et tout le reste, mais bien entendu, le script stipule que je continue d’avancer. Je m’exécute alors que l’équipe continue de me suivre. Une musique stressante se fait entendre en provenance de je ne sais où afin de renforcer l’atmosphère tendue qui transpire de la scène. J’entends alors des bruits de pas et, effrayé (Dieu seul sait pourquoi je serais effrayé par d’autres êtres humains mais j’exécute les ordres du scénario à la lettre sans me poser de questions, je ne suis pas payé pour m’en poser), je me cache derrière un angle de mur (qui, je songe alors, tombe à merveille), me permettant d’observer les nouveaux arrivants. Un grand jeune homme athlétique apparait alors, escorté d’une jeune fille svelte que je reconnais immédiatement. J’écarquille les yeux sous le coup de la surprise pendant que la musique redouble et accélère sa cadence.
VI • JOUEUR.
▬ Pseudo : The Boy From Oz, mais appelez-moi Ryan, ça sera plus court 
▬ Âge : 20 ans =)
▬ Avatar : Jensen Ackles héhé.
▬ Commentaires : J’espère que la manière dont j’ai rédigé ma présentation n’est pas trop confuse. Je voulais mélanger, faire un peu comme si Reid était un personnage de soap-opéra tout en rendant ça un peu ambigu, je ne sais pas trop si c’est réussi ; quoiqu’il en soit, le style est emprunté à celui de Bret Easton Ellis dans Glamorama. Si c’est raté ou que vous voulez que je recommence, je le ferais sans problème.
▬ Code : - Spoiler:
OK
Dernière édition par Reid Ainsley le Sam 22 Aoû - 0:04, édité 4 fois | |
| | | | Erling Woody-Swanson
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:03 | |
| TBFO, t'es mon sauveur, tu sais ça ?  | |
| | | | Reid Ainsley
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:12 | |
| Ah oui ? Pourquoi ça ? Ca donne droit à des privilèges dont on peut abuser ou pas ?  | |
| | | | Erling Woody-Swanson
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:15 | |
|  Je compte bien aller au bout. J'aime beaucoup le personnage, ça change des autres Jensen, et puis le forum Ahah, commençons par une question d'utilité publique: il y a une petite chose que je ne suis pas sûr d'avoir comprise, est-ce que c'est Erling le premier amour de Reid ou pas ? | |
| | | | Erling Woody-Swanson
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:18 | |
| J'ai essayé qu'il soit différent. Ouais ouais, c'est ma Erlie.  | |
| | | | Cat Eveleigh
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:19 | |
| Un Reid Sans doute le bon, on croit tous en toi   Enfin, Bienvenue  | |
| | | | Reid Ainsley
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:21 | |
| Ok, merci =) Merci Cat (tant de pression, vous allez me faire fuir, je suis un mec rappelez-vous, je supporte pas ça ). | |
| | | | Cat Eveleigh
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:22 | |
| De rien Justement, t'es un mec, les mecs endurent tout en silence | |
| | | | Erling Woody-Swanson
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:24 | |
| Ah oui c'est vrai, les mecs sont des lâches.   Sois différent.  Okay, je sors pour de bon. En tout cas si t'as d'autres questions, n'hésites pas, ma boîte MP est grande ouverte. | |
| | | | Reid Ainsley
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:37 | |
| Je relève le défi Mais d'abord, je vais dormir  | |
| | | | Alwena Hawkins
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:38 | |
| Ahhhh BIENVENUE !  | |
| | | | Erling Woody-Swanson
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Jeu 20 Aoû - 23:40 | |
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| | | | | Erling Woody-Swanson
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Ven 21 Aoû - 18:56 | |
| Si il y a une personne qui doit te violer ici, c'est bien moi. *BAF*. | |
| | | | Reed Vaughn
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Ven 21 Aoû - 19:41 | |
| Que le pouvoir du Jedi soit avec toi petit padawan, je te donne ma bénédiction pour finir ta fiche
*SZBAAAF*
Enfin, bienvenue parmi nous, j'espère que tu seras le bon <3
Bon couraaage =) | |
| | | | Reid Ainsley
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Ven 21 Aoû - 22:37 | |
| Longue sera la route, mais en moi aie confiance *fais genre il connait Star Wars* - Erling Woody-Swanson a écrit:
- Si il y a une personne qui doit te violer ici, c'est bien moi. *BAF*.
Qui t'as dit que ça sera un viol ?  | |
| | | | Erling Woody-Swanson
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Ven 21 Aoû - 22:40 | |
| Si tu savais comme tu me rassures. J'avais peur de devoir y aller par la force. | |
| | | | Reid Ainsley
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Ven 21 Aoû - 22:44 | |
| Oh, jsuis pas farouche moi. Surtout quand c'est l'admin du forum qui demande. Je vends mon corps au nom du RPG  | |
| | | | Erling Woody-Swanson
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| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Ven 21 Aoû - 22:44 | |
| Quel sacrifice.  Tu es un membre loyal, j'apprécie. | |
| | | | Reid Ainsley
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GOLD COCOON : FOUR SEASONS MANOR ♦ South Wing #D2.
DAMN JOB : WHORE, ahah.
OTHERSIDE
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CRISPY SHIPS :
| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Ven 21 Aoû - 22:48 | |
| J'ai vu ça ; j'aime. On est des gentilles, on aime les membres qui flood. | |
| | | | Reid Ainsley
COPYRIGHT : Misery Angel; totheircreators
MOOD THEME : Blue... Red... Colorful.
GOLD COCOON : Entering data in Mappy.
DAMN JOB : Student
OTHERSIDE
CHECK LIST :
CRISPY SHIPS :
| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% Ven 21 Aoû - 22:49 | |
| Deux mots: chou - ette. Ouais ouais, moi j'y vais fort. J'ai toujours aimé les membres qui floodent; au moins ils ont des choses à dire ( ou pas ). | |
| | | | Contenu sponsorisé
| | Sujet: Re: AINSLEY, R. -checked: 100% | |
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| | | | | | AINSLEY, R. -checked: 100% | |
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