Sujet: GRAYSON • fucking miles of painting darkness. Lun 3 Aoû - 12:16
I'M NOT LIKEABLE.
(C) UNTOLD VERITY @ LJ.
I • IDENTITE.
▬ Noms :Woody. ▬ Prénoms :Grayson, Gabriel. ▬ Date de naissance (âge) :14 février 1963 (46 ans). ▬ Lieu de naissance :Londres, Angleterre. ▬ Nationalité :Anglaise. ▬ Groupe :Famille WOODY.
II • HABITUDES.
▬ La première chose que vous faites le matin : Grayson est un sportif né. De plus, son métier ne lui permet pas de se laisser aller physiquement. Dés son réveil, le patriarche Woody enfile un short de sport ainsi qu’un débardeur et fait cinq fois le tour du pâté de maison. Lorsqu’il fait beau, du printemps au début de l’automne, il fait son jogging avec pour seule compagnie le chant harmonieux des oiseaux et des sources sonores provenant des maisons devant lesquelles il passe. Lors des deux autres saisons de l’année, il place les écouteurs de son IPod aux oreilles et sombre dans un mutisme étonnant. ▬ Le contenu de votre portefeuille : Comme tout membre masculin de la famille Woody qui se respecte, Grayson détient une collection incroyable de cartes en tout genre : de crédit, de fidélité (surtout celle du vidéoclub en réalité), ainsi qu’une carte de membre dans un club de sport ainsi que son pass de garage pour entrer dans les locaux d’Interpole et sa carte de membre du stand de tir de Londres. Généralement, il garde tout près de son portefeuille son badge de flic. Et contrairement à ses frères ou son fils, il s’assure d’avoir toujours un préservatif sur lui. La dépression est peut-être sa nouvelle épouse mais il n’en est pas moins que Grayson reste un homme. Et même très séduisant, en plus ! ▬ Ce qui se cache sous votre lit : Rien. Pas même une seule peluche de poussière. Néanmoins, casé contre la plainte du mur, une caisse en acier assez lourde repose en paix. Un code à chiffre est nécessaire pour l’ouvrir. Hormis lui, feu sa femme et son fils, personne ne connait la combinaison. Il s’agit d’une arme à feu, autre que l’arme de service que possède Grayson, à utiliser qu’en cas d’extrême urgence. ▬ Ce qui vous séduit chez l'autre : Son comportement. Outre le fait qu’il ait besoin d’une femme plantureuse ou possédant un charme fou, il suffit que votre caractère se dissocie des autres pour que Grayson vous remarque. Il ne s’embête pas outre mesure de vos qualités et vos défauts mais plutôt de votre façon d’agir, de réagir. Même s’il fait partit de la catégorie des personnes amorphes depuis quelques années, le don qu’il possède pour juger les gens n’a pourtant pas faiblit. Il est redoutable au travail. ▬ Ce qui vous rend hystérique : Autrefois, il devenait fou de joie devant le moindre dessin de ses enfants ou bien lorsque sa femme décidait qu’ils allaient diner en ville, qu’elle avait trouvé une baby-sitter et qu’ils passeraient un week-end à deux. Aujourd’hui, ce qui le rend malade, c’est l’incompréhension qu’ont ses enfants face à la réaction qu’il a de réagir au décès de sa femme. Certes, les ‘abandonner’ n’a pas été l’une des idées les plus lumineuses qu’il ait jamais eue. Même Grace, pourtant compréhensive avec lui, lui en fait souvent le reproche. Son épouse avait été la colle qui unissait sa famille. Il était si sûr de lui lorsqu’elle était encore en vie… S’il les a purement et simplement laissés face à eux-mêmes, c’est parce qu’il se considère désormais comme un mauvais père qui aurait été incapable d’élever d’une poignée de fer son fils et sa fille. Il est beaucoup trop fier pour avouer qu’il est faible dans son intérieur sentimental.
III • RELATIONS.
▬ Avec vos parents / avec vos enfants : Si Grayson était très proche de son père lors de son enfance, il s’est néanmoins éloigné de lui pour épouser son âme sœur, Janice Holloway. Janice a tout de suite été acceptée par les Woody mais son père conservait une certaine aversion pour cette belle demoiselle aux cheveux auburn. Avant la mort de sa femme, Grayson était aussi proche de ses enfants qu’il l’était avec son père, autrefois. Il amenait souvent Reece au match de football et de basketball et avait même fait aménager un terrain de basket à l’arrière de leur maison. Grayson étant l’anglais le plus américain de la famille, il n’était pas rare qu’il emmène sa petite famille au cinéma pour ensuite partager un repas dans un fast-food (Burger King) ou une pizzeria. Il aimait emmener Paisley à la patinoire tous les dimanches et lui apprenait ainsi les figures artistiques qu’il avait apprise, en dehors des heures de hockey qu’il passait régulièrement avec une équipe locale. Mais dés la mort de Janice, ses enfants furent le cadet de ses soucis. Il sombra dans une dépression qu’il cache aux yeux de tous aujourd’hui et se conforte dans sa peine. Il adresse à peine la parole à ses enfants et considère plus judicieux de se détacher d’eux plutôt qu’agir comme un père instable et n’ayant pas l’étoffe du super-papa qu’il était pourtant auparavant. Quelques fois, il regrette amèrement l’indifférence qu’il a instaurée dans sa famille… Peut-être que cette histoire de succession lui permettra de se rapprocher d’eux ? ▬ Avec vos frères et sœurs : Selon Grayson, la fratrie Woody est ‘du pur caviar’. Hormis sa sœur Gloria, il tient à ses frères et sœur comme à la prunelle de ses yeux. Certes, l’antipathie qu’il cultive pour Gloria n’a rien de naturel. Il ne souvient d’ailleurs pas pourquoi il s’est fait une ennemie au sein même du chaleureux foyer que représentaient les cinq enfants Woody et leurs parents. Les trois garçons ont été comme des coqs en pâte lors de leur enfant et c’est à se demander si Grace et lui ne sont réellement pas des jumeaux. Grace est la femme qu’il aime le plus sur Terre au jour d’aujourd’hui car elle est la seule à le comprendre et à continuer de le traiter comme avant bien que son indifférence pour ses enfants l’offense vraiment. ▬ Avec votre famille plus éloignée : De la famille éloignée dîtes-vous ? Il a déjà bien assez à faire avec son travail, la fratrie Woody et ses enfants pour se préoccuper d’autres personnes ! Il les voit aux réunions familiales, comme Noël où les enterrements et c’est tout. Quant à ses neveux et nièces, il s'adapte à chacun d'entre dans la mesure du possible.
V • SITUATION. Un minimum de dix lignes est exigé pour l'ensemble de ces questions.
▬ Comment avez-vous réagit à l'annonce de la décision du notaire face à l'héritage ?Connaissant depuis bien longtemps la double vie que menait son père, Grayson ne fut pas surprit outre mesure de la décision du notaire. Il était normal, d'un point de vue objectif, que tous les descendants de Belawney Woody furent protéger du besoin jusqu'aux restants de leurs jours. Cependant, Grayson possédant un point de vue tout autre, considérant la décision du notaire comme un pur abus de pouvoir. Il se demandait si réellement son père avait eu la débilité d'imposer une telle condition. Surtout que le Manoir de Four Seasons était à eux, pas aux bâtards Franklin. Il avait toujours rêvé prendre possession de la maison afin d'en faire profiter sa famille, mieux que ne l'avait jamais fait son patriarche. Flic jusqu'au bout des ongles, Gray avait une certaine expérience de l'architecture et de la décoration d'intérieur qui aurait pu être bénéfique pour une remise à neuf du Manoir familial. Ne pouvant pas remettre en cause des déclarations officielles, il a seulement observer ses frères et soeurs réagir à l'annonce explosive. Il était amusé de leur manège et commence à se demander si, au cours de leur existence, il n'avait jamais imaginer un seul instant que leur père ait pu avoir une autre famille, autre que celle des Woody. ▬ Comment vivez-vous la situation au Manoir ? Que ressentez-vous face à l'autre famille ?Grayson se contente de boucler des dossiers qu'il avait emporté avec lui et de jouer les intermédiaires. Il est très certainement le seul à engager des conversations avec la famille Franklin, sous les regards noirs de ses proches. Il avait toujours été intrigué par cette 'autre' famille que, l'occasion se présentant à lui, il décide de mieux les connaître de comprendre comment les Franklin ont pu vivre dans le secret. Cacher une autre femme et des enfants n'était pas une chose mince à faire. Mais ne vous y méprenez pas. Grayson ne compte pas se faire des Franklin ses meilleurs amis. Au contraire, il voue une certaine haine à leur égard qu'il cultive depuis son adolescence... Il compte plutôt profiter de cette occasion pour se rapprocher de sa propre famille...
VI • JOUEUR.
▬ Pseudo :Laplusbelle. Natie Laplusbelle. ▬ Âge :1700 ▬ Avatar :Le beau, le grand, le magnifique ; j'ai nommé : David Boreanaz. ▬ Commentaires :Magnifique forum. Design superbe, pré-définis à tomber... j'avoue que je n'étais pas 'chaude', vu le contexte. Ca me rappelait surtout une histoire de maison hanté où nous devions être enfermés... RIP à RR d'ailleurs. Mais maintenant, ça me plait et c'est tant pis pour vous, je vais vous hanter ! ▬ Code :
Spoiler:
OK
Dernière édition par Grayson Woody le Mar 4 Aoû - 11:29, édité 12 fois
Grayson Woody GRAY • let the traffic policemen wear black cotton gloves
Sujet: Re: GRAYSON • fucking miles of painting darkness. Lun 3 Aoû - 12:17
IV • ANECDOTES.
Manoir Four Seasons, 1974, 13 février.
Le froid avait gelé la gigantesque pelouse du manoir familial. Ses frères étaient au chevet de la petite Gloria, au troisième étage. Elle semblait gazouiller de bonheur sous les grimaces de ses frères. Grayson ne participait pas à ce genre de scène infantilisante. Assis sur le rebord moelleux d’un renfoncement de fenêtre, Grayson referma définitivement le livre qui était posé sur ses genoux. La neige commençait à tomber dans la pénombre de la nuit. Il n’était que dix-huit heures trente mais les plus petits avaient dînés et étaient mit au lit. Les gouvernantes avaient mit Gloria, Grace et Gabryel au lit. Dans quelques minutes, elles viendraient l’emmener diner avec Garry. Sa mère était partie se coucher quelques minutes plus tôt. Elle prétextait un mal de tête. Leur père n’était toujours pas rentré. Il était retourné à Londres le matin même, prétextant qu’il avait oublié les ébauches de son prochain livre.
« Gray’… » Marmonna une petite voix endormie.
Là, sur le seuil de la porte, une petite fille à peine haute comme trois pommes se frottait les paupières de ses petits poings. Ses cheveux auburn étaient tressés et retombaient en deux tresses sur ses deux petites épaules habillées de manches bouffantes. Grayson ouvrit grand les bras. La petite fille s’y précipita, il la souleva et l’installa à ses côtés, du côté de la fenêtre et embrassa sa tempe.
« Qu’est-ce que tu fais là, Gracie ? » « J’ai fait un cauzemar » « Un cauchemar, Gracie. Qu’y avait-il dans ce cauchemar ? » Demanda t-il, inquiet de savoir sa petite sœur Grace apeurée par un rêve qu’il ne pouvait même pas repousser. « Tu criais fort sur Père… »
Grayson serra fort Grace contre son cœur, l’entourant de la légère couverture imprimée de lys qui était sur ses jambes. Elle ne devait pas prendre froid, sa petite poupée. Il avait réellement hurlé sur son père. Grace ne l’avait pas rêvé. Il savait que son père n’était pas repartit à Londres pour son livre. Il avait lui-même placé les liasses de papiers griffonnées dans l’une de ses valises, suivant l’ordre de son propre paternel. Il avait du oublier ce détail. ‘Je sais que tu vas la voir’ lui avait-il dit, froidement. Il savait qu’elle s’appelait Tami. Qu’une gosse de cinq ans courait dans ses pattes et qu’un autre a le même âge que sa petite princesse, Grace ?
« Ne t’inquiète pas, ma Chérie… je ne crierai plus sur Père, rendors-toi. Je suis là pour toi. »
Notthing Hill, Londres, 1990, 26 juin.
Les rayons du soleil traversaient les persiennes de la chambre nuptiale. Le décor, quoiqu’un peu trop pastel au goût de Grayson, avait tout pour le ravir. Le chaos y régnait. Mais il s’agissait d’un désordre témoignant de la passion et de l’amour qu’il avait partagé avec Janice la veille, après avoir couchés les enfants. Il passa les paumes de ses mains sur ses yeux afin de se réveiller complètement. Le cadran du réveil électronique indiquait sept heures trente. Gray paraissait étonné que ses monstres ne soient pas encore éveillés mais il ne s’inquiéta pas outre mesure. Il fit volte-face dans le lit et vint de pelotonner contre la peau douce au teint de pêche de sa femme. Peut-être avaient-ils encore le temps d’échanger une autre étreinte charnelle avant le réveil de Paisley. Disposant de légers baisers sur la nuque de sa femme, ses yeux brillèrent dans l’obscurité lorsqu’elle lui fit face et les couvrit malicieusement du drap de soie qui les entourait. Les lèvres de sa douce et les caresses qu’elle disposait timidement sur son visage et son dos avait de quoi le rendre fou. Il l’aimait. Oui, il l’aimait plus que tout, cette femme aux cheveux auburn et aux yeux chocolat. Son père n’avait jamais aimé cette femme issue de la classe moyenne. Elle était pourtant parfaite. D’où qu’elle vienne. Grayson avait été peiné que son père ait refusé l’entrée de Janice dans la famille. Elle avait été peinée d’être rejetée ainsi. Mais elle savait. Oui, elle savait que lui, Grayson Gabriel Woody, l’aimait plus que tout, l’aimait à en mourir, l’aimait assez pour combler cette meurtrissure causée par le patriarche de la famille Woody. Elle savait aussi que les autres l’avaient acceptée. Mercy, Garry, Gabryel et surtout, surtout, Grace. Elle appréciait Gloria et était la seule à pousser Grayson à lui rendre visite, parfois, alors qu’elle était encore adolescente.
« Que dis-tu de faire un autre petit frère ou petite sœur à nos deux anges ? » Susurra Grayson à l’oreille de son épouse. Pour toute réponse, elle l’embrassa passionnément.
« Ga’ ! »
Les mouvements des deux tourtereaux cessèrent.
« Ah non ! Je dois déjà m’occuper de cette petite morveuse ! Je veux pas d’un autre microbe dans les pattes ! »
Fébrilement, les deux parents Woody soulevèrent le drap et aperçurent sur le seuil de la porte le petit Reece, Rice comme le surnommait Grayson, qui portait dans les bras une petite masse qui gigotait dans tous les sens et commençait pleinement à jouer de sa voix. Grayson jeta un coup d’œil à Janice et, comme un accord passé sous silence, ils éclatèrent de rire. Le paternel Woody enfila discrètement son pantalon de soie d’un beau bleu marine et accourut tel un ogre sur ses deux bouts de chou en poussant un ‘grooooaaaaa’ significatif. Telles des plumes, les deux enfants Woody atterrirent dans ses bras et c’est imitant un avion et en les couvrant de baisers sonores qu’il les déposa près de leur mère et engagea une bataille de chatouilles avec son fils qui ne pouvait pas s’arrêter de rire.
« Arrête, Papa ! Arrête, s’il-te-plaît ! » « Gray ! » Gronda Janice. Puis, il se stoppa et fit une mine désolée à sa femme qui berçait tendrement la petite Paisley dans ses bras. « Allez champion ! On va préparer une surprise à Maman ! »
Les deux hommes Woody se levèrent de concert et se précipitèrent sur la porte de la chambre et la refermèrent d’un coup sec.
« Chut, Papa, tu fais trop de bruit ! » « Hé ! La gazinière ! Veux-tu faire moins de bruit, s’il-te-plait ?! » Dit Grayson en s’abaissant vers la flamme bleue dans la cuisine.
Lorsqu’ils remontèrent, les deux Grayson étaient armés de plateaux. Leur surprise tomba à l’eau lorsqu’ils durent honteusement frapper contre la porte de la chambre pour que Janice les fasse entrer.
« C’est pas malin ! » Lança Reece fièrement après avoir déposé avec précaution son plateau sur le lit. Avant de s’attaquer à son assiette et à son chocolat chaud, il attrapa doucement Paisley et lui fourra un biberon dans la bouche. « Bon anniversaire, Mrs Woody » Murmura Grayson à l’oreille de Janice lorsqu’ils furent aussi installés. « Bon anniversaire, Mr Woody »
Dernière édition par Grayson Woody le Mar 4 Aoû - 9:55, édité 3 fois
Grayson Woody GRAY • let the traffic policemen wear black cotton gloves
Sujet: Re: GRAYSON • fucking miles of painting darkness. Lun 3 Aoû - 12:17
Churchill Cemetery, Londres, 2003, 25 septembre.
Grayson n’arrivait pas à sortir de son 4x4 noir qu’il venait tout juste de s’offrir. La voiture familiale ne lui était plus d’aucune utilité. Enfin, d’après ce qu’il pensait. Ses enfants avaient voulus l’accompagner mais il leur avait ordonné de rester dans leur nouvel appartement du centre-ville. Il ne voulait pas qu’ils le voient dans cet état…
Un gigantesque bouquet de fleurs laissait échapper ses effluves dans tout l’habitacle de la voiture. Si ça continuait, Grayson allait être prit de nausées. Il était beau mais il se demandait vraiment s’il avait bien fait d’acheter ce bouquet. Des œillets étaient disponibles à l’entrée du cimetière et Dieu seul savait combien Janice aurait préféré des œillets. Ses mains gantées de cuir noir serraient avec force le volant de la voiture. Le bruit que produisait le cuir de ses gants contre celui du volant était horripilant. Et pourtant, il continuait. Il n’arriverait pas à faire ça tout seul…
« Allô ? » Demanda une voix endormie.
Grayson jeta un coup d’œil à l’horloge de son automobile. Il était seulement six heures du matin. Le soleil commençait à peine à pointer le bout de son nez.
« Gracie ? » « Gray ? Tu vas bien ? »
Grace n’obtint qu’un sanglot en guise de réponse.
« J’arrive, Grayson. Ne bouges pas, j’y serai dans trente minutes ! »
Quarante minutes plus tard, c’est une Grace au teint frais et vêtue avec sobriété qui toqua contre la vitre côté passager. Grayson, dans un sursaut, lui ouvrit la porte. Il avait le regard vide.
« Dis donc… ça empeste, là-dedans… » Lança-t-elle avec un sourire.
Grayson ne put que lui adresser un maigre sourire.
« Gray. Ca fait un an… » « Je… » « Il est temps que tu te relèves » « Mais… » « Tes enfants ne te reconnaissent plus ! » « Je ne veux pas qu’ils me reconnaissent… elle me manque tant, Gracie »
Grace devait sûrement être mal à l’aise. Et pourtant, elle lui prouva le contraire en le blottissant dans ses bras. Les rôles étaient inversés. C’était lui qui pleurait dans ses bras et qui la faisait pleurer ensuite, tellement elle avait le cœur serré. En le berçant, elle lui fredonna une berceuse qu’il avait l’habitude de lui chanter pour l’endormir la nuit.
« Tais-toi, mon bébé, sois sage ne pleures pas. Dors, bercé par le fleuve sacré, dors mais n’oublie pas mon dernier chant d’amour. Je serai dans ton cœur pour toujours… »
Grace savait que Janice chantait la même berceuse à ses enfants. Les pleurs de Grayson se calmèrent.
Il était 9 heures lorsqu’ils partirent du cimetière.
Dernière édition par Grayson Woody le Mar 4 Aoû - 11:27, édité 4 fois
Erling Woody-Swanson THE DIRTY WEED ▬ Then, they call me hell, but that's not my name.
Sujet: Re: GRAYSON • fucking miles of painting darkness. Lun 3 Aoû - 18:37
Merciii
J'ai une question (heureuse de voir que le forum et les sujets sont de nouveau accessibles ! J'ai eu la frousse à un moment XD), je pourrai faire comme Uro, écrire à la 3ème personne ? J'ai l'impression de me dédoubler avec le 'je' et j'aime vraiment pas
Erling Woody-Swanson THE DIRTY WEED ▬ Then, they call me hell, but that's not my name.
Sujet: Re: GRAYSON • fucking miles of painting darkness. Lun 3 Aoû - 18:49
MAC CHUUUUUCK C'EST TOIIIIII ?!!!!!!! PUTAIN JE SUISTROP HEUREUUUUUUUUUUUSE, on va pouvoir enfin jouer ensemble, enfin, réellement, vraiment, trooooop bien
Invité Invité
Sujet: Re: GRAYSON • fucking miles of painting darkness. Lun 3 Aoû - 18:51
OUAIIIIIIS, ENFIN TU ME FAIS DOUTER LA, C'EST BIEN MOIII ? OH MAIS MOUASSI, JE T'AIME MON MACNORRIS. Oui, on n'a pas joué ensemble depuis Tex et MacGyver.
Grayson Woody GRAY • let the traffic policemen wear black cotton gloves