Alek what else?

I • IDENTITE.

▬ Noms :

▬ Prénoms :

▬ Date de naissance (âge) :

▬ Lieu de naissance :

▬ Nationalité :

▬ Groupe :

II • HABITUDES.

▬ La première chose que vous faites le matin :

▬ Le contenu de votre porte-feuille :

▬ Ce qui se cache sous votre lit :

▬ Ce qui vous séduit chez l'autre :

▬ Ce qui vous rend hystérique :

III • RELATIONS.

▬ Avec votre famille :

▬ Avec vos voisins :

V • SITUATION.

▬ Connaissez-vous les Woody et/ou les Franklin ?

▬ Que pensez-vous de cette situation au Manoir ?

VI • JOUEUR.

▬ Pseudo :

▬ Âge :

▬ Avatar :

▬ Commentaires :

▬ Code :

Spoiler:

IV • ANECDOTES.

"pppppffffff"

Cela doit bien être le 5 ème soupir en 3 minutes que le jeune Reynolds poussait… Appuyé contre la grande fenêtre du couloir rejoignant les escaliers et le salon du haut, il observait le fils du Jardinier et le responsable des écuries s’amuser joyeusement dans le foin. Apparemment Graham serait un chevalier et Peter un bandit. Ils ont l’air de s’amuser comme ça, à rire, à sauter
dans la paille, se rouler par terre quand ils sont blessés. Si Aleck en faisait de même, il était sur que la gouvernante arriverait pour le ramener par la peau des fesses à l’intérieur et que quelques minutes après quand Kathleen en aurait été avertis, il prendrait une fois de plus un sermon…. Pfff pas drôle…

" Aleck? Aleck, mon chéri ou es tu ?"

Résonna une voix dans l’escalier.

Et bien quand on parle du loup, sortis de ses pensées, le jeune homme jeta un dernier coup d’œil aux deux garçons avant de descendre rejoindre sa mère.

" Ah..tu es la....Dépêche toi, viens par la que je change ta veste, on va à un anniversaire.. "

A la moue du garçon, on devinait facilement qu’il n’etait pas vraiment enchanté si c’est pour aller à l’anniversaire de l’un de ses camarades de natation et que ses parents connaissent ses parents..(toujours la même chanson à chaque fois de toute manière.)

" Maman… j’ai pas envie d’aller à l’anniversaire de Paisley… "

Alors qu’elle se regardait dans la glace du salon afin de voir si son châle autour de son cou tait bien mis, elle se retourna vers son fils.

"Allons fais un effort mon chéri, ton père tient à ce qu’on les rejoigne, les Woody sont des gens très important et puis Paisley et toi êtes sans la même école non ? "

Et voila qu'a 7 ans on ne lui laissait le temps d'être un enfant. Certes il avait la chance d'avoir une enfance dorée contrairement à la majorité des autres mais quand même pour une fois, il aimerait savoir ce que cela fait que de se rouler dans de la paille.

"Les filles, c'est nul!"

trouva t il finalement à dire en trainant des pieds.

"On en reparlera dans quelques années mon cœur..."

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Il était seulement 22h et déjà, Aleck était en train de s’endormir, non loin du buffet, il salua une connaissance de son père qui le salua de la tête mais celui-ci approcha alors.

« Alors mon garçon ! Ça faisait longtemps que je ne t’avais pas vu ! Tu es devenu un homme dis moi. »

« Mr Fordman. C’est un plaisir de vous revoir. »

« Ton père m’a dit que tu brillais à Oxford. Encore trois ans et tu passes l’examen final, je suis sure que tu t’en sortiras «

lui lança t il en lui tapotant l’épaule avant de s’éloigner, Aleck prit alors une autre verre de whisky sous le regard désapprobateur de sa mère quand Paisley fit son entrée, habillée comme à son habitude d’une robe qui la mettait en valeur comme jamais. Il aurait aimé aller l’accueillir mais s’il se précipitait vers elle, il percerait à jour leur secret. Hors de question de faire cette erreur. C’était presque stupide, de tomber si facilement dans ce jeu, ils avaient bien trop à perdre. Finalement, il but un verre de plus, puis un autre. Une demi heure plus tard, Aleck barrait la route de Paisley alors que celle-ci se rendait aux toilettes.

« Je te montre le chemin ? »

lui dit il d’une voix suave.

La jeune femme hocha de la tête, partagée entre l’exaspération et l’amusement pour finalement lui répondre en le contournant.

« Tu es bourré et en plus tu ne m’as même pas attendu pour boire… Sans compter que je sais ou se trouve les WC chez moi. »

Elle se déroba alors à lui en rentrant dans la salle d’eau, mais Aleck fut rapide, bloquant la porte, il se faufila à son tour dedans, enlaçant la jeune femme, il la fit reculer jusqu'à ce qu’elle touche le mur.

« Mais qu’est ce que tu fais ? »

« J’ai envie de toi, la maintenant »

lui murmura t il alors qu’il embrassait déjà son cou avec avidité.

« Les invités sont juste à cotés ! Et tes parents pourraient nous entendre. »

« J'en ai marre de me cacher, marre de devoir mentir comme ci ce que je faisais est ignoble. »

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« Alors Maitre reynolds , c’est encore une affaire bien menée que celle-ci. C’est pour cela que Mr Eldridge vous a engagé ? »

« Parce que vous allez chez un garagiste qui ne sait pas réparer les voitures vous ?

Lâcha le jeune avocat en tentant de se faufiler entre la foule et d’échapper à ce journaliste bien trop envahissant.

«Image intéressante ! Vous voulez dire que vous êtes la pour réparer les erreurs de la famille Eldridge ? S’occuper d’une personne aussi importante vous demande beaucoup de travail, avez vous souvent des dérapages à éponger ? »

Resserrant son attaché case un peu plus afin de garder son calme apparent, il se retourna pour lui faire Volte face, le glaçant d’un simple regard. Si cela il avait pu le faire physiquement parlant…

« Que les choses soient bien claires, je suis la pour veiller aux intérêts des Eldridge et défendre leurs droits à présent si vous continuez vos sous entendus, je me ferais une joie de vous démontrer mes talents en vous menant devant un tribunal. »

« Je ne voulais pas vous froisser Maitre Reynolds, je voulais juste savoir pourquoi un homme comme vous, fraichement sorti d'Oxford et anglais exilé a quitté sa patrie pour défendre les droits d’une famille comme les Eldridge. »

Aleck se contenta de soutenir son regard laissant un long silence planer afin de lui faire comprendre qu’il ne dirait rien, soudainement derrière l’épaule du journaliste, Aleck aperçut une crinière blonde bien trop familière, il avait déjà cet idiot de journaliste pas la peine de devoir supporter la fifille à son papa qu’était Briony.

« J’écrirais peut être un livre un jour »

lâcha t il plein d’ironie en levant un sourcil dédaigneux avant de se retourner et de reprendre sa marche. Quittant les lieux avec son habituel flegme, il passa par habitude une main dans ses cheveux qui le décoiffa un peu plus. Descendant les marches, il était déjà à la recherche d’un taxi pour rentrer chez lui quand les bruits rapides de talons qui claquaient sur le marbre se firent entendre. Fermant les yeux en lâchant un soupire, il ne voulait pas se retourner, se doutant trop bien de qui cela c’était.

« Hé vous ! Je dirais à mon père que vous savez faire votre job. »

Lâchant un rire plus que sarcastique, Aleck se retourna une fois de plus. Remontant les quelques marches qui les séparaient pour être à sa hauteur.

« Mademoiselle Eldridge…je ne suis pas un jardinier que l’on félicite pour avoir taillé à merveille votre palmier prés de votre piscine, votre père est déjà au courant de votre sortie, il m’a demandé de l’appeler des que l’ordonnance du juge serait faite. »

déclara t il avec sa franchise habituelle qui désarçonna quelque peu la petite fille parfaite et terriblement…tête à claque.

« Pas la peine de monter sur vos grands chevaux, si ce job ne vous plait pas, rien ne vous empêche d’en changer ! »

lui répondit elle en passant devant lui afin de se rendre à la jaguar garée en bas des marches qui l’attendait.

Aleck fut leste, la suivant la seconde d’après il fut la pour lui ouvrir la porte et l’aider à rentrer. Simple politesse de routine. Plus une manie d’éducation stricte et aristocratique qu’un véritable sentiment de vouloir faire plaisir.

« Je fais ce job car avec votre famille vous ne risquez pas de vous faire radier pour refuser de porter une cravate. »

répliqua t il avec son ironie habituelle.

« En tout cas je n’oublierais pas de dire à Mr Eldridge lors de notre prochain entretient qu’il peut être fier de vous. Vous êtes sur la bonne voix pour ressembler à Paris Hilton. »

Aussitôt cette réplique lancée, Aleck ferma la porte de la voiture et tapa sur la capot pour faire comprendre au chauffeur qu’il pouvait démarrer, rejoignant le trottoir d’en face, il rejoignit un taxi libre. Ces nouveaux riches Australiens... Absolument aucune classe...