Sujet: ARTERBURY ; Soline Ophélie Sarah (SOS) FINISH Dim 23 Aoû - 22:09
I • IDENTITE.
▬ Noms : Arterby ▬ Prénoms : Soline Ophélie Sarah (S.O.S) ▬ Date de naissance (âge) : 13 novembre 1988 (21 ans) ▬ Lieu de naissance : Inconnu. ▬ Nationalité : Américaine & française. ▬ Groupe : Relations des Woody.
II • HABITUDES.
▬ La première chose que vous faites le matin : Oui, qu’est-ce que je peux bien faire le matin en me levant? Disons que je fais plusieurs choses, toutes très ordinaires – ou pas. Je descends les marches (ou parfois je pourrais même ajouter que je les déboule) avec une drôle de tête, n’étant pas très réveillée. Ensuite, je me frappe un peu partout, contre la table, contre la chaise. J’échappe mon assiette qui s’écrase dans un bruit sourd sur le sol et éclate en quelques morceaux. Lassée, je les ramasse lentement et jette le tout à la poubelle. Je baille un grand coup et je me reprends une assiette. En général, celle-là tient le coup. Je me mets une ou deux rôties dans le grille-pain et j’attends que ça grille, quoi. Pendant ce temps-là, je me verse un verre de jus punch aux fruits et je le sirote en surveillant ma rôtie. J’essaye de ne pas la faire – trop – brûler, mais je n’ai jamais été douée en cuisine. Puis je mets du beurre d’arachide sur ma ou mes rôties et je les mange. Ensuite, rassurez-vous, je me réveille lentement et j’arrête de faire des gaffes. Du moins, pas trop de gaffes. Surtout que, vu que je suis relativement maniaque, tout se passe très bien. Sauf le matin, comme vous avez pu le remarquer.
▬ Le contenu de votre sac à main : Dans mon sac à main, nous pouvons retrouver une panoplie de trucs totalement inutiles. Je traîne souvent ma trousse à maquillage qui contient de l’ombre à paupière, du rouge à lèvre et de l’eye-liner noir, généralement. On peut également y retrouver mon trousseau de clés (auto et appart’) et mon portefeuille. Celui-là contient toutes les cartes possibles et inimaginables qu’il faut avoir. La carte soleil, la carte bleue, le permis de conduire et blablabla. J’ai également quelques cartes de soldes car j’adore le shopping, comme toute fille qui se respecte, j’imagine. J’ai quelques mouchoirs (non utilisés, je vous rassure) et un peigne qui peut s’avérer très pratique. J’ai également un petit miroir de poche qui m’assure, avant d’entrer dans un établissement important, que je n’ai pas l’air d’une imbécile toute décoiffée ou avec le maquillage qui coule sans qu’elle le sache.
▬ Ce qui se cache sous votre lit : J’ai longtemps pensé qu’il y avait un gros monstre vert et mauve, mais apparemment pas. En fait, je ne me rappelle pas de tout ce que j’ai mis en-dessous de mon lit. Certaines choses sont simplement des machins que j’ai fais involontairement glisser sous mon lit pour ne plus les retrouver après. Avec mon enthousiasme persistant et ma joie de vivre évidente, je ne m’en suis pas fait violence pour autant, préférant simplement les oublier. Vous êtes chanceux, car il n’y a pas si longtemps que ça, j’ai fais le gros ménage et j’ai redécouvert quelques petites choses – très poussiéreuses, je vous l’accorde. J’ai donc retrouvés quelques bijoux qui n’avaient pas trop de valeur – ni pour moi ni pour mon père qui m’en avait gentiment offert 2 ou 3 – quelques livres, quelques vêtements, 2 ou 3 babioles dont j’ignore encore l’utilité et mon journal intime. Lui, j’étais heureuse de le retrouver. J’y avais beaucoup écrit et ça me fait toujours rire de tout relire. Donc ça ressemble à ça, je pense. Sinon, c’est de la poussière. Beaucoup de poussière. Faudrait sérieusement songer à passer un coup de balai là-dedans.
▬ Ce qui vous séduit chez l'autre : Là, vous êtes réellement en train de me demander ce qui me séduit chez un homme? Bon. En fait, du moment qu’il ne soit pas drogué, macho et bad boy, ça me va généralement. J’aime les hommes qui sont cultivés et sont capables d’entretenir une conversation intelligente dans plusieurs domaines. Vous savez, le hockey, les autos et moi, ça donne un nombre très élevé. J’aime également ceux qui sont gentleman, ça me fait littéralement craquer. Mais bon, c’est rare de nos jours, apparemment ça ne marche désormais qu’avec les clins d’œil charmeurs et les appellations débiles, genre ‘ma chérie’ alors que tu ne lui as même pas adressé un mot. Après ça, évidemment, tu es censée roucouler de bonheur et te jeter dans ses bras (ou son lit, hein.) Complètement stupide. Bref, j’aime les hommes distingués. Il y a quelques écarts là-dessus, c’est sûr. Les torturés, ça peut le faire aussi. Quoi qu’encore, ça dépens beaucoup du mec en question. Il faut qu’ils soient dynamiques aussi, car ceux qui s’écrasent devant la télévision sans t’adresser un regard, bah.. Ce n’est pas très intéressant. Ça fait une conversation plutôt.. Vide. En fait, je ne suis pas trop difficile. Il y a beaucoup d’hommes qui pourraient me plaire, à un degré différent.
▬ Ce qui vous rend hystérique : Les hystériques. Bon, ça ne fait pas sérieux. Mais vous savez, les filles qui sautent partout en criant comme des débiles juste parce que tel gars a posé le regard sur elle? Ça, ça m’écœure au point de me rendre malade. J’en deviens hystérique, ou plus précisément sur le bord de la crise d’hystérie. Les araignées aussi, ça a ce genre d’effet-là sur moi. Je hais tout simplement ces bestioles-là. Totalement. Elles me répugnent et je ne sais pas pourquoi. C’est juste totalement dégoûtant, quoi. En fait, les bestioles en général me rendent hystériques. Je déteste ça – sauf les papillons. Allez savoir pourquoi. D’un côté plus positif (quand même) j’adore les surprises. Mais les vraies surprises, pas les ‘je vais te faire une surprise’ et là on attend sans savoir ce que c’est. Ce qui est totalement inattendue (et bienvenue, évidemment. Trouver ton pire ennemi chez toi est une surprise, mais pas une bonne surprise.) Alors là, vous aurez le ‘Oh my god, tu n’aurais jamais dû, c’est siiiii..’ Je ne peux pas me retenir, c’est comme ça.
III • RELATIONS. Un minimum de dix lignes est demandé pour l'ensemble de ces deux questions.
▬ Avec votre famille : Ça va très bien avec ma famille. Prochaine question. Enfin, plus sérieusement, je n’aime pas vraiment parler de ça. C’est un sujet plutôt délicat pour moi, vous comprenez j’espère? J’ai la réputation d’être relativement bavarde, mais sur ce sujet, je suis muette comme une taupe. En fait, comme vous avez pu le comprendre, ça ne va pas très bien avec mes parents. En fait, ça va bien juste avec mon frère, qui est parti je ne sais où en oubliant le reste de sa famille. J’ai reçu une lettre de lui, mais sans indications ou numéro de téléphone. Il ne répond pas à son portable – je le soupçonne d’avoir changé pour éviter qu’il se fasse demander de l’argent par la famille – ni aux mails désespérés que je lui envoie toujours. J’ai vraiment eu hâte de quitter la maison et l’atmosphère lourde qui s’était imposée entre ma mère et moi après le départ de mon père. Elle me mettait responsable de l’abandon de mon père alors que je n’y comprenais absolument rien. Ma mère n’a pas arrêté de me persécuté par la suite, me répétant que je n’étais ni aussi bonne ni aussi belle qu’ils l’espéraient au départ. Je n’étais rien pour eux, c’est ce que j’ai compris alors que ma mère me menaçait de me laisser seule. Alors dès que j’ai pu, c’est moi qui ai laissé ma mère seule, ne culpabilisant que très peu de la laisser sans argent. Car oui, dans la famille, c’est moi qui travaillait et elle qui buvait et/ou se droguait. Je suis donc entrée à l’université en payant une partie de mes études avec le salaire de mon job de serveuse. J’empruntais le reste. Je n’avais pas le choix. Je n’ai donc plus aucuns contacts avec les membres de ma famille proche. Mon frère, ma mère et mon père. Ai-je réellement des regrets?
▬ Avec vos voisins :
Je suppose que je suis une bonne voisine. Je ne fais pas trop de bruit (du moins, pas chez moi) et ils ont tous eu un accueil relativement chaleureux de ma part. J’ai de relativement bonnes relations avec mes voisins qui ne me trouvent pas dérangeante pour une jeune femme de mon âge. C’est vrai qu’on a déjà fait plus énervé, mais c’est qu’ils ne m’ont pas vue en boîte ou à une fête quelque part d’autre, hein. Si je ne les dérange pas avec de la musique trop forte et des éclats de voix, c’est bien parce que mon appartement est trop petit pour faire une fête réussie avec plein de monde. Quand même, je vis ma vie à fond et j’en profite! Non mais, vous me preniez pour une fille coincée? J’en suis vexée, là, j’avoue. Bon, je n’ai pas l’air d’une grande fêtarde – je ne le suis pas non plus – mais j’aime bien penser que je sais m’amuser, quand même. Revenons aux voisins, voulez-vous. Je ne les connais pas réellement et c’est réciproque. Ils pensent que je suis une bonne fille toute sage et toute calme alors ça leur suffit et ça les rassure. Moi, je ne fais que mon boulot, à savoir être sympa avec tout le monde et ne pas refuser lorsqu’on demande mon aide. Après tout, je vais peut-être avoir besoin de la leur ensuite. Ils ont une dette envers moi, ils me l’ont quasiment tous dit.
V • SITUATION.
▬ Connaissez-vous les Woody et/ou les Franklin ? On ne s’énerve pas pour un rien. ‘Les’ est un peu trop car je ne connais qu’une Woody. Et encore, je ne connais pas toute l’histoire. Certains sont totalement fans des rumeurs et des ragots alors que moi, je m’en fiche un peu, j’avoue. Leurs histoires de familles ne me concernent pas plus que ça. Surtout concernant ce manoir. Je me suis forgée mon opinion là-dessus pour ne pas me faire regarder étrangement lorsqu’on en parle. Étant donné que je connais une Woody et elle s’avère à être ma meilleure amie ou quelque chose s’en approchant, il est absolument certain que je ne peux penser que le Manoir revient aux Franklin. Personnellement, ça ne me dérange point puisque cela ne m’affecte pas. Mais bon, je suis un peu biaisée dans l’histoire, je l’avoue. Écouter la version de l’histoire simplement de la bouche d’une Woody ne m’aidera pas à arrêter mon choix. Bref, revenons-en au sujet principal. Comme vous l’aurez vu, je connais donc une Woody, j’ai entendu parler d’eux et j’ai également entendu parler des Franklin. Surtout en ce moment, d’ailleurs, à cause de cette histoire de Manoir qui occupe tout le monde. Les gens et ces deux familles-là. Rappelez-moi simplement lorsque la décision sera arrêtée.
▬ Que pensez-vous de cette situation au Manoir ? Personnellement, je trouve ça assez marrant. Bon, simplement pour moi. Les deux familles ne diront sûrement pas la même chance. La tension doit être palpable. L’atmosphère chargée de haine et d’amertume. Vraiment, j’ignore comment ils vont faire pour simplement vivre là-dedans, dans cette tension perpétuelle. Ça va être marrant d’entendre Thleen m’en parler, ça c’est sûr. Par contre, je ne pense pas que moi j’aurais aimé vivre là-dedans. La tension m’aurait sûrement fait pété un plomb ou deux. C’était un excellent exercice pour nos nerfs. J’ignore si j’aurais eu un bon score ou pas, mais dans un sens, je préfère ne pas être obligée d’essayer. Bref, je m’en fous mais je trouve ça amusant comme décision du jury en attendant. Je ne pense pas qu’une des deux familles va souhaiter céder, par contre. Ce n’est pas le genre de truc à faire, enfin je suppose. Après tout, l’héritage reviendrait à l’autre famille et tous les efforts fournis seraient perdus. Alors non, aucuns ne cédera. Il ne reste plus qu’à attendre le verdict de.. Enfin, de celui ou celle qui s’occupe de ça.
Dernière édition par Soline Arterbury . le Lun 24 Aoû - 2:46, édité 2 fois
Sujet: Re: ARTERBURY ; Soline Ophélie Sarah (SOS) FINISH Dim 23 Aoû - 22:10
IV • ANECDOTES. Elle n’avait pas voulu en arriver là. En fait, ce n’était tout simplement pas prévu, mais elle ne pouvait rester enfermée dans la même maison que sa mère encore une minute de plus. Elle qui avait prit la décision d’étudier ce soir-là, c’était complètement raté. Elle avait cédé à une envie enfouie en elle depuis longtemps : faire la fête. La vraie, celle où on ne se rappelle d’absolument rien (comme ça on ne peut pas avoir honte, d’ailleurs) celle où l’on revient bourré et avec une tête dégueulasse. Et le matin, on a toujours un cadeau exceptionnel : une magnifique gueule de bois et une migraine assommante. Une fête où l’on danse et où l’on boit toute la nuit sans se préoccuper de l’heure à laquelle on allait revenir au bercail. De toute façon, sa mère l’avait quasiment jetée dehors à coup de pied dans le derrière. Ne s’étant pas encore remise de son divorce avec le père de Soline, elle prenait sa fille pour responsable. Ignorant totalement pourquoi, la jeune Arterbury se réfugiait souvent à l’extérieur, à quelque part d’autre. Là où elle pourrait oublier que ses parents ne l’aimaient pas. Ni sa mère, ni son père, puisqu’il était parti sans lui dire un mot. Alors, en manque d’affection (surtout depuis que son frère était parti étudier.. Loin) et de piquant dans sa vie, elle s’investissait dans sa vie sociale. Lorsqu’elle avait reçu un texto de sa meilleure amie l’invitant à une fête, elle n’avait pu refuser. Surtout cette soirée-là, avouons-le.
Lors de son arrivée à la boîte de nuit, Soline fut ravie de constater qu’elle connaissait beaucoup de gens, la plupart à qui elle n’avait pas adressé la parole depuis un an. Heureuse et bien décidée à s’amuser, elle ne voulait laisser absolument rien détruire sa soirée. Alors, se faisant offrir quelques verres et dansant une bonne partie de la soirée, les éclats de rire étaient au rendez-vous et elle s’amusait comme une petite folle. Faut dire que ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas pu participer à une fête si réussie. Pourtant, chaque belle chose à une fin, et son fun se stoppa net lorsque son regard se posa sur le jeune homme qui venait de passer la porte d’entrée. Elle, elle le reconnaissait. Lui n’a pas semblé la remarquer, pourtant, mais il lui disait vraiment quelque chose. Plissant les yeux et fronçant les sourcils, elle tenta de mieux voir et en même temps de se rappeler le nom du, pour l’instant, inconnu. Mais vraiment, c’était frustrant. Absolument certaine de le connaître, ou du moins de l’avoir déjà vu, Soline décida finalement de l’oublier un moment. Ce n’était pas un nom oublié qui allait lui gâcher sa soirée. C’était bête, dans le fond. Continuant à danser, elle ne s’en préoccupa plus. Puis, un slow arriva, ce qui l’éloigna inévitablement de la piste de danse pour plutôt l’attirer vers le bar. Un peu comme tout le monde, quoi. Étant donné qu’elle ne s’était pas dépêchée pour avoir une place au bar, il n’en resta rapidement plus, l’obligeant à migrer dans un autre coin de la salle. Et, évidemment, à penser à l’inconnu qui ne l’était pas tant que ça.
En parlant de lui, où était-il désormais? Il n’était pas au bar et ne dansait pas de slow sur la piste de danse. Ça, c’est sûr : il n’y avait que quatre couples. On avait fait le tour rapidement, mettons. Et puis, il n’était pas dans son coin, elle était seule. La probabilité qu’il se trouve derrière elle était si faible qu’elle ne se dérangea même pas à regarder, préférant plutôt tenter une nouvelle fois de l’oublier et de relaxer un peu ses jambes molles pour la nouvelle danse. Son regard un peu embrumé par l’alcool parcourra la salle à la recherche de gens à aborder plus tard dans la soirée. Elle en trouva quelques-uns (oui, je sais, ça vous fascine) lorsqu’une main se posa sur son épaule. Sursautant légèrement, elle se retourna pour découvrir le fameux inconnu-qui-ne-l’était-pas-vraiment. Comment était-il arrivé là, lui? Elle était absolument certaine qu’il ne l’était pas lorsqu’elle s’est assise sur cette chaise-là. Il lui sourit légèrement, et, un figée, elle ne bougea pas d’un millimètre.
« Je t’ai fais peur? » s’amusa-t-il. « Pas du tout, se défendit-elle, j’étais simplement surprise parce que j’étais sûre que j’étais seule. » « Eh bien apparemment pas. »
Lui trouvait ça drôle, c’était indéniable. Soline, un peu moins. Elle s’était levée, se déprenant de son emprise et l’observait d’un drôle de regard. Elle hésitait sur l’attitude à prendre avec lui. Sait-on jamais, peut-être serait-il préférable de partir en courant en ne lui jetant aucun regard. Pourtant, elle restait là, à l’observer. Lui aussi, d’ailleurs.
« Tu me dis vaguement quelque chose. On s’est déjà vus, toi et moi? » « Et Alann Townsend, ça te dis rien? »
Alann. Oui, c’est ça. Ils s’étaient connus il y a quelques mois et s’entendaient relativement bien ensemble. Se frappant le front avec l’impression de passer pour une folle, Soline secoua la tête. Oui, maintenant qu’il le disait, ça lui revenait, tranquillement mais sûrement. Elle savait qui il était et finalement, elle n’avait pas à s’enfuir devant lui. Vous savez, quand on est sous l’effet de l’alcool, les réactions peuvent être légèrement ralenties. Voilà donc comment s’est débutée la relation la moins sérieuse de toute son existence. Dans le fond, elle s’en fichait et elle aussi. C’était tout juste s’ils se disaient en pleine face qu’ils se trompaient et l’autre répondait ‘ah tiens, moi aussi.’ Une relation des plus libres, dans le fond. Sa première relation si peu sérieuse et si peu stable. Une expérience à ne jamais retenter, croyez-moi. Ou enfin.. Soit être stable, soit ne pas l’être du tout, pas une espèce de mélange entre les deux. Ça devient trop compliqué. Ça s’est terminé comme ça a commencé, d’ailleurs.
« Alann, je crois que ça ne marche vraiment pas entre nous. » « Tu crois? » avait-il répondu d’un ton sarcastique. « En effet, c’est ce que je crois. Alors, ben je suppose que c’est fini, hein. » « Le pire, c'est que ça m'arrange. À plus, Soline. »
Vraiment, elle n’aurait plus jamais de relations dans ce style-là. C’était d’un pathétique.. Heureusement, peu de personnes sont au courant. Ce n'était pas sérieux, de toute manière. Bizarrement, leur amitié a survécue. Ils passent beaucoup de temps ensemble et ne font jamais - je dis bien jamais - allusion à leur relation. Pour eux, c'est du passé, alors ça n'a pas d'importance.
{ Désolée pour le navet que ça s'avère à être. Voilà ce que ça donne, être fatiguée. x) }
VI • JOUEUR.
▬ Pseudo : Little-Surfeuse ▬ Âge : 15 ans ▬ Avatar : Clemence Poesy ▬ Commentaires : Si je suis là, c’est grâce à mon espèce de folle préférée (a) Audrey, ou apparemment cachée sous le pseudo de Rembrand Duprès (si ma mémoire ne me fait pas défaut x)). Parce que même si la rentrée approche, je n'ai pas pu résister <3 ▬ Code :
Spoiler:
OK
Dernière édition par Soline Arterbury . le Lun 24 Aoû - 2:49, édité 6 fois
Erling Woody-Swanson THE DIRTY WEED ▬ Then, they call me hell, but that's not my name.
Je voulais simplement vous avisez que j'ai terminé ma présentation. C'est un navet, mais bon, je voulais la terminer aujourd'hui x) J'espère que tout est en règle <3
(Chlo va te tuer d'avoir pris Clémence MDR). Mais quand même, ma Gene d'amouur je suis contente que tu sois venue (LL). Puis t'es toujours aussi efficace tu me désespèreeees XD. Nous manque plus qu'un lien qui déchire tout maintenant (LL) (Un truc où je peux (encore) te séquestrer MDRRR)
Jfais de la propagande msnienne . Non mais serieux, HWOTF le mérite x). Il est cool ce forum &donc si j'peux vous ramener des membres c'est avec plaisir
Alwena Hawkins ECCENTRIC SOUL ▬ Because the world needs a little of madness.
Reed ; Han ouiii Merci <3 Audrey (a) ; Juste pour te décourager un peu plus (aa), je t'annonce que j'ai tout écris ça hier soir Han ouaiiis. <3 Va falloir imaginer un truc bien sadique XD
& Merciii pour la validation
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: ARTERBURY ; Soline Ophélie Sarah (SOS) FINISH
Accueil 
Dernières images 
Merci, miss <3
. Non mais serieux, HWOTF le mérite x). Il est cool ce forum &donc si j'peux vous ramener des membres c'est avec plaisir 
Merci <3