e l l e - la vulgaire symphonie ; u.c.

I • IDENTITE.

▬ Noms :

▬ Prénoms :

▬ Date de naissance (âge) :

▬ Lieu de naissance :

▬ Nationalité :

▬ Groupe :

II • HABITUDES.

Répondez à ces questions par des phrases, étoffez en plusieurs lignes.

▬ La première chose que vous faites le matin :

▬ Le contenu de votre sac à main (F) / porte-feuille (M) :

▬ Ce qui se cache sous votre lit :

▬ Ce qui vous séduit chez l'autre :

▬ Ce qui vous rend hystérique :

III • RELATIONS.

Un minimum de dix lignes est demandé pour l'ensemble de ces deux questions.

▬ Avec votre famille :

▬ Avec vos voisins :

IV • ANECDOTES.

Vous avez le choix pour le nombre d'anecdotes, mais nous vous demandons un minimum de quarante lignes.

J’imagine qu’il serait mieux pour moi de me plier à la procédure

Dans ce cas, je suis toute ouïe.

Je vous parle, là.

Il n’y a rien de nouveau à cela. D’une année à l’autre, d’un établissement à l’autre, mon absentéisme reste important.

Parce-que c’est moi qui l’exerce, et ce le plus souvent dans un cadre sexuel.

Omniprésent, ennuyeux. Opulent conviendrait sans doute, tant les techniques différent, tout comme les sujets.

- Je ne peux pas répondre à cette question. Je ne sais pas exactement moi-même. Je peux toujours vous livrer les éléments et autres indices dont je dispose, que je vois si vous vous débrouillez mieux que moi.

« C’était il y a à peu près cinq ans. Je devais en avoir douze ou treize. J’étais au collège, j’étais trop belle pour être sympathique, et j’avais toujours tendance à jouer les madame-je-sais-tout. J’étais une intello asociale, toujours dans son coin, que la plupart des élèves montraient du doigt en riant. J’étais celle à qui on taguait des insultes sur le casier, celle que l’on brutalisait dans les vestiaires des filles, celle que l’on regardait avec peine, voire dégoût. J’étais la tête de turc, mais j n’avais aucun problème avec les garçons. J’étais pas le genre tête à claque, j’étais plutôt le genre trop mignonne pour être amie avec les autres filles. D’ailleurs, ma beauté m’a toujours valu la haine de mes congénères. Je suis beaucoup trop attirante pour être heureuse. Bref, je sortais du collège, me dirigeait vers chez moi, seule évidemment. Puis il m’a abordé. Un mec quelconque, la cinquantaine, une alliance. Bourré, à un point assez inquiétant d’ailleurs. Il titubait, bégayait, et chaque fois qu’il parvenait à énoncer clairement une phrase entière, celle-ci n’avait pas de sens. Il m’a suivi jusqu’à chez moi, je l’avais remarqué, mais étonnamment, je n’avais pas eu peur. Une fois postée devant ma porte, je n’avais pas bougé. J’avais lentement inséré les clefs dans la serrure, suffisamment lentement pour qu’il ai le temps de me rejoindre. Il n’a pas dit grand-chose, et je n’ai pas crié. Je n’ai rien pas non plus parlé, j’étais indifférée. Il m’a prise contre la porte, violemment, maladroitement. Il suait, moi aussi. Il devait être deux heures de l’après-midi, en Juin. Personne dans la rue, personne sous le porche. Nous étions à l’ombre mais avions tout de même chaud. Une fois que ce fut fini, j’ai sût qu’il était gêné. Il avait sans doute prévu de m’embêter un peu et, une fois que j’aurais suffisamment refusé ses avances, qu’il m’aurait suffisamment terrifiée, il m’aurait laissée tranquille. Que je me laisse faire devait l’avoir surpris. Sentant sa honte, je l’ai embrassé sur la joue, après quoi j’ai fini de tourner les clefs, de déverrouiller la serrure. Je l’ai laissé sur le palier, tout bouleversé qu’il était. »

Quel âge avez-vous docteur ?

Par pure curiosité. Je trouve ça si amusant d’imaginer toutes ces années de vie, toutes ces expériences, et de voir un homme aussi âgé que vous, prêt à tout et n’importe quoi pour une adolescente d’à peine dix-sept ans

« Regardez moi docteur, regardez mes jambes, mes hanches, mes seins, mes lèvres, mes yeux. Regardez-moi et osez me dire que vous ne m’imaginez pas nue, entre vos bras, à vous supplier d’une petite voix candide de ne pas me faire de mal, osez me dire que vous ne rêvez pas de me prendre sur ce bureau en m’entendant crier au viol, osez me dire que vous n’avez pas la moindre envie de me gifler jusqu’à ce que j’en pleure. », commençais-je, détachant chaque mot avec sensualité, c’était un art dans lequel j’étais passé maître. Je relançais, avec plus de douceur, tandis que je me levais et posais mes mains sur ses dossiers, lui laissant loisir à se perdre dans mon décollette outrageux, « Ne vous inquiétez pas docteur, ça n’est pas un problème. Je suis toute à vous. Je suis prête à vous donner tout ce que vous attendez de moi. Tant que ça peut vous faire plaisir. »

« Tout vie n’est qu’une suite de désirs, docteur. La question est de savoir si vous êtes prêts à les satisfaire. ».

V • SITUATION.

Un minimum de dix lignes est exigé pour l'ensemble de ces questions.

▬ Connaissez-vous les Woody et/ou les Franklin ?

▬ Que pensez-vous de cette situation au Manoir ?

VI • JOUEUR.

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